La ville se réunit pour entendre le discours du sénateur Leonard promoteur d'un État (et plus un Territoire) pour le Colorado. Le fils du Sénateur est enlevé et E.Leonard fait l'objet d'un chantage : soit il retire son projet dans les quatre jours, soit l'enfant sera tué. Les kidnappeurs sont un "homme des montagnes" dénommé Mav Bride et sa compagne MarceSeule. Quelques hommes partent, emmenés par Sully : le sénateur Leonard et deux de ses employés, Preston, Jake, Hank, Matthew et RobertE. Sur le chemin, Preston provoque Sully, se montre méprisant et ironique à son égard, mettant la patience et la tolérance de Sully à rude épreuve. En ville, Mike est très occupée à la clinique : le révérend a une amygdalite et de nombreux patients ont besoin d'attention. Lorsque Mike a des saignements et doit rester allongée, elle demande alors à Colleen de solliciter l'aide d'un médecin de Denver. En forêt, lorsque les hommes arrivent à rejoindre Mc Bride, le sénateur Leonard refuse de lui donner satisfaction. Le chaos s'ensuit. Matthew est enlevé à son tour par "l'homme des bois".
Les petites phrases retenues:
E.LEONARD, à propos de Preston = cet homme ira loin.
Jake à Hank = on n'attend que ça.
E.LEONARD = deux fois au cours de ces 10 dernières années ce projet a été lancé et malheureusement à 2 reprises, un petit groupe d'opposants acharnés a réussi à le faire échouer. Mais aujourd'hui, je n'ai pas l'intention de céder.
Dorothy à Jake = ...ça ce sont des histoires. Je veux des faits.
RobertE = on a enlevé un enfant. Je ne resterai pas ici à ne rien faire.
Preston = Il y a un début à tout.
Mike à Sully = jures moi que vous reviendrez tous les deux sains et saufs, alors je pourrai me reposer.
Sully à Brian =...pendant mon absence (et celle de Matthew) : c'est toi l'homme de la maison.
Preston à E.Leonard = plus grands sont les risques et plus grand est le triomphe.
Matthew = ou...plus grande est la chute !
Preston (à propos de Sully = je crois qu'avec les revenus de sa femme, il n'a pas besoin de travailler.
Preston à Sully = vous êtes comme ces terres sauvages qui se laissent peu à peu apprivoiser.
E.Leonard à RobertE = d'ici quelques années, les gens comme vous seront plus disciplinés, plus instruits, et alors vous aurez votre mot à dire.
Dr Cassidy à Mike = la santé de votre bébé est plus importante que de jouer au médecin. Si vous pouviez mettre votre vanité de côté ne serait-ce que quelques secondes, vous sauriez que j'aie raison. Alors : restez à la maison où est la place d'une mère.
TERRITOIRE & ETAT (cf Preston) = Avant la Guerre d'Indépendance, notre pays était une colonie britannique. Le Colorado a une situation similaire : en tant que Territoire, nous sommes comme une colonie du Gouvernement Fédéral, ce qui nous interdit de prendre des décisions. En tant qu'Etat nous aurons enfin un porte-parole au Congrès et nous aurons la possibilité de choisir nous-même notre gouverneur.
LE MARQUIS DE QUEENSBERRY = En 1865, le journaliste John Graham Chambers codifie les combats de boxe. Les 16 règles qui en résultent portent le nom du 9e Marquis de Queensberry, l'écossais John Shotto Douglas, qui part sa notoriété contribua à les diffuser à travers le Royaume-Uni puis le reste du monde dès 1867. Elles entreront en vigueur en 1891.(wikipedia)
LE PISTOLET "PACIFICATEUR" = Le Colt 45, alias «le Pacificateur» (Peacemaker), a été l'outil indispensable de la vie sur la frontière aux temps héroïques de la conquête de l'Ouest, brandi par les shérifs et les hors-la-loi, les cow-boys et les pionniers qui empruntaient la piste de l'Oregon. Longtemps après que Colt eut perdu son monopole et le pistolet son utilité, le «six-coups» était resté emblématique de l'Amérique telle qu'elle se rêvait et se présentait au reste du monde, à travers les westerns. Colt avait vendu plus de 30 millions d'armes à feu depuis sa fondation en 1855.(http://membres.multimania.fr/ecomag/breves.htm)
L'HOMME DES MONTAGNES = un homme vêtu de peau de daim, avec une casquette en raton-laveur et une barbe abondante. Il est équipé d'une carabine Hawken et d'un couteau Bowie, communément appelé un « couteau à scalper ». On a parfois représenté ces hommes de manière romantique, comme des hommes honorables avec leur propre code chevaleresque, des solitaires prêts à aider leurs prochains, mais ayant trouvé leur véritable foyer dans les contrées sauvages. Bien qu'il y ait du vrai dans cette image romantique, la réalité est plus variée : certains étaient des ours bougons, d'autres avaient de bonnes manières ; certains restaient dans les contrées sauvages toute leur vie, d'autres se retiraient comme hommes d'affaires dans les villes de l'Est ou s'établissaient à l'Ouest comme fermiers. La plupart des trappeurs voyageaient et travaillaient dans des compagnies et leur vêtement combinait des casquettes et des manteaux de laine avec de commodes culottes et chemises en cuir dans le style indien. Ils portaient souvent des mocassins, mais généralement une paire de bottes solides. Chacun d'eux avait aussi un attirail de base, qui incluait des armes, de la poudre et des munitions, des couteaux et des hachettes, une cantine, des ustensiles de cuisine et des provisions de tabac, de café, de sel et de pemmican (de la viande concentrée et séchée). Les chevaux ou les mules étaient essentiels, une monture par homme et au moins un animal portant ustensiles et fourrures. À l'exception du café, les provisions de bouche reproduisaient le régime des tribus indiennes. De la viande rouge fraîche, du gibier et du poisson étaient généralement disponibles. Certaines plantes, des fruits et des baies étaient faciles à récolter. Mais les nourritures qui exigeaient un temps de préparation, comme les racines, la viande séchée, le pemmican, étaient en général obtenues par des échanges avec les tribus. Cependant, en temps de crise ou de mauvais temps, ils pouvaient abattre et manger leurs chevaux et leurs mules.(wikipedia)
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