MA VILLE, MA FAMILLE (A Place Called Home) - tournage = 29.05 - 06.06.1997 -;- 1ère diffusion : 01.11.1997 -;- Ecrit par Julie Henderson -
A C.S. la santé d'Anthony se détériore de plus en plus ; Mike et Andrew confirment à Grace et RobertE qu'ils doivent envisager l'irréparable. La maladie est inconnue et il n'y a donc pas de traitement possible. Mais doivent-ils dire la vérité à l'enfant ? Grace s'y refuse désespérement et maintient son fils dans l'illusion d'un possible voyage, tout en l'encourageant à élaborer la rédaction demandée par Teresa à ses élèves, sur le thème "Qu'est-ce que vous préférez à C.S. ?" Sully se cache toujours de l'armée et tente -avec Nuage Dansant- de trouver une solution pour le départ des indiens renégats vers le nord du pays. Peut-être avec l'aide de Dorothy ? Sully et Mike se retrouvent ponctuellement. Cette dernière parviendra-t-elle à confier à son mari la fausse-couche qu'elle a subit ? Katie, qui marche depuis quelques tems, commence maintenant à parler.
NOTE (dont traduction "automatique" et donc approximative) de Julie Henderson, sur cet épisode : Dans cet épisode où chacun doit envisager le décès d'Anthony, chacun va devoir relever le défi de dire, ou non, à l'enfant qu'il va mourir et qui doit le lui dire : le médecin ? les parents ? un ami ? J ai été reconnaissante d'avoir à écrire cet épisode car il m'a donné l'occasion d' explorer les questions complexes se posant à des familles d'enfants porteurs de maladies représentant un danger pour la vie. J'ai appris que quelles que soient les difficultés de ces questions, si vous parlez à un enfant avec votre coeur, il ne peut y avoir de fausses réponses.Je voudrais remercier spécialement Ann Armstrong-Dailey, Directeur des Hôpitaux Internationaux pour enfants de sa collaboration et du partage de ses recherches. Ces établissements fournissent des ressources et de l'aide aux parents et aux professionnels de soins de santé s'occupant des enfants sérieusement malades. (+coordonnées et adresse) - Julie Henderson - (http://drquinnmd.com/library/episodes6.html)
Les "petites" phrases que j'aie retenues :
Nuage Dansant à Dorothy = il y a quelque chose que vous pouvez faire et c'est ce que vous faites le mieux : écrire la vérité. Faire comprendre à votre peuple que nous ne sommes pas son ennemi .... (il vous écoutera) parce qu'autrefois vous pensiez comme eux (...) votre livre a contribué à faire évoluer les mentalités. Je pense que vous pouvez faire la même chose avec la Gazette. Leur coeur entendra ce que votre coeur a entendu.
Sully à Mike = il n'y a rien de pire que de perdre un enfant, c'est une terrible douleur.
Grace à RobertE = je sais ce qu'ils (Mike & Andrew) ont dit, mais ce ne sont que des médecins. Moi, je suis sa mère et comme toutes les mères... si Anthony était en train de mourir, je le saurais, je le sentirais au fond de mon coeur. Il faut y croire.
Mike à Brian = je ne peux pas (dire la vérité à Anthony) Brian ! Ce n'est pas à moi de prendre cette décision, c'est à ses parents et ils ne veulent pas que je le fasse. (...) Je suis aussi leur amie, je dois respecteur leur volonté.
Sully à Mike = Brian a raison, Anthony devrait savoir la vérité. (...) Ils (Grace & RobertE) traverseront cette épreuve comme nous avons traversé les nôtres : ensemble.
Grace à Mike = je sais Dr Mike, il est mourant ...mais je veux que les derniers jours de mon fils soient pleins d'espoirs et de bonheurs. Vous avez vu son sourire illuminer son visage ? Je dirai et ferai tout ce qu'il faudra pour que ce sourire ne disparaisse jamais de son visage et je le protégerai jusqu'à son dernier soupir.
Sully à RobertE = je sais, c'est dur et c'est injuste de voir un enfant partir avant ses parents (...) mais c'est une bonne chose de lui dire votre amour, et il faut continuer. Mais parfois ce sont les choses qu'on ne dit pas qui nous éloignent de ceux qu'on aime.
Dorothy à Nuage Dansant = je pense souvent au moment où nous avons échangé un baiser et ça me fait peur, avec tout ce qui s'est passé ces dernier temps...///Nuage Dansant = cet instant est toujours dans mon coeur (...) et il y a (pour Dorothy) beaucoup de confusion et de questions ...et pas encore de réponses...mais nous les trouverons.
Grace à Mike = je ne sais pas comment dire au revoir à mon enfant.
Anthony = j'aimerais savoir ce qui va m'arriver quand je serai mort...
Grace à Anthony = ton âme s'envolera vers le ciel et ira tout droit au Paradis où le bon Dieu t'accueillera (et où nous te rejoindrons)
Mike à Anthony = non ce ne sera pas douloureux, il n'y a pas de souffrance là-bas.
RobertE à Anthony = au Paradis les années passent aussi vite que les secondes. Tu auras à peine le temps de te retourner que nous serons là ta maman et moi.
Brian à Matthew = je ne sais pas quoi lui dire ni quoi faire. C'est le meilleur ami que j'aie jamais eu et il va mourir, je ne le reverrai plus jamais. Je ne sais pas comment lui dire que je ne veux pas qu'il s'en aille.
Matthew à Brian = tu crois qu'il ne le sait pas ? Il sait aussi que tu es malheureux...Tu n'as rien à lui dire, c'est de ta présence dont il a besoin.
Anthony à Brian = je te fais cadeau de ma casquette et il faut que tu me promettes d'en prendre grand soin... et ne laisses aucune fille la porter, sinon elle sentira le parfum !
Brian = Anthony ... tu as peur ? /// Anthony = un peu...
Sully à Mike = tu n'étais pas encore prête (à parler de la fausse-couche) ; hier je voulais être seul, j'avais besoin de réfléchir, je me sentais coupable de ne pas avoir été à tes côtés dans un moment aussi difficile. Vous êtes ce que j'aie de plus cher au monde les enfants et toi.
Grace à RobertE = tout au début, quand nous l'avons recueillir, toutes les nuits je me levais et entrais dans sa chambre, sans bruit, et je le regardais dormir. /// RobertE = je sais... et je me levais moi aussi.
LA REDACTION D'ANTHONY = Mlle Teresa nous a demandé de faire une rédaction sur ce que nous aimons le plus à C.S. Mais je n'en ai pas qu'une, j'en ai des centaines. L'une d'elle est de balayer le porche de Mr Bray qui me donne un cornet de sucre Candy . J'aime aussi aller à l'Eglise rendre visite au Révérend qui peut voir nos pensées sans se servir de ses yeux. J'adore distribuer la Gazette de Mlle Dorothy...en échange elle me donne des journaux des quatre coins du pays et ainsi je peux apprendre ce qui se passe dans d'autres villes. J'aime aussi aller voir notre docteur, la seule femme médecin de tout le Colorado...elle vous soigne sans jamais vous faire souffrir ! Mais ce que j'aime le plus c'est passé du temps avec mon meilleur ami, il m'a toujours encouragé et m'a appris à avoir confiance en moi. Ce que je préfère le plus à C.S. c'est vivre avec mes parents ; ils m'ont accueilli chez eux quand je n'avais plus de famille et m'ont donné un foyer. Ils sont même allés voir un juge et lui ont demandé de faire de moi leur fils. J'ai habité dans différentes villes, mais C.S. est l'endroit le plus merveilleux que j'aie jamais connu parce que c'est là que j'ai trouvé un papa et une maman et quelle que soit ma destination, quelle que soit la longueur du voyage, où que j'aille, je sais que lorsque je fermerai les yeux je les verrai et serai à nouveau auprès d'eux.
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NOUVELLE-ORLEANS = La ville fut fondée par les Français sous la direction de Jean-Baptiste Le Moyne, Sieur de Bienville, en 1718. Le nom de la ville fut choisi en l'honneur du régent, Philippe, duc d'Orléans. Au départ simple comptoir de la Compagnie du Mississippi, elle devint la capitale de Louisiane française en 1722 (la capitale fut transférée de Biloxi à La Nouvelle-Orléans). La ville vit l'arrivée (en 1806) de 10 000 créoles haïtiens après le rachat américain de 1803, dont de riches planteurs de sucre d'Haïti (...) La population de la ville fait plus que doubler avec l’arrivée de ces créoles qui quittaient Haïti après la révolution de Toussaint Louverture en 1802 et qui vont ensuite planter du coton dans les quatre états du sud des Etats-Unis qui représenteront 80% de la culture du coton en 1860 (Louisiane, Alabama, Mississippi et Georgie). Pendant la guerre de 1812 les Britanniques envoyèrent une force pour essayer de conquérir la ville mais ils furent vaincus par les troupes commandées par André Jackson à quelques kilomètres en aval à Chalmette le 8 janvier 1815 (bataille de la Nouvelle-Orléans). (...) Selon Carl A. Brasseaux, près de 50 000 français ont pénétré dans les États-Unis par la Nouvelle-Orléans entre 1820 et 1860, tandis que l'autre port, Bâton-Rouge, assurait le transport des esclaves venus de la Côte Est. Il fallait désormais le ménager: en 1806, la traite avait été interdite. (http://www.google.fr/search?q=nouvelle+orl%C3%A9ans+usa&ie=utf-8&oe=utf-8&aq=t&rls=org.mozillaofficial&client=firefox-a)
SUCRE CANDY = Ce que l'on nomme habituellement le sucre est, dès 1406, une "substance de saveur douce extraite de la canne à sucre". Il est majoritairement formé d'un composé nommé saccharose. Il se trouve que la betterave sucrière et d'autres végétaux permettent également de produire des produits composés majoritairement de saccharose. nitialement, les gens mâchaient la canne à sucre brute pour en extraire sa douceur. (...) - La culture du sucre aurait commencé dans le Nord-Est de l’Inde ou dans le Pacifique Sud respectivement vers 10000 ou 6000 avant J.-C. D’autres témoignages archéologiques associent la culture du sucre avec la civilisation de la vallée de l'Indus. Les Indiens ont découvert comment cristalliser le sucre pendant la dynastie des Gupta vers l’an 350. + sur = http://fr.wikipedia.org/wiki/Sucre[i][u]
A C.S. la santé d'Anthony se détériore de plus en plus ; Mike et Andrew confirment à Grace et RobertE qu'ils doivent envisager l'irréparable. La maladie est inconnue et il n'y a donc pas de traitement possible. Mais doivent-ils dire la vérité à l'enfant ? Grace s'y refuse désespérement et maintient son fils dans l'illusion d'un possible voyage, tout en l'encourageant à élaborer la rédaction demandée par Teresa à ses élèves, sur le thème "Qu'est-ce que vous préférez à C.S. ?" Sully se cache toujours de l'armée et tente -avec Nuage Dansant- de trouver une solution pour le départ des indiens renégats vers le nord du pays. Peut-être avec l'aide de Dorothy ? Sully et Mike se retrouvent ponctuellement. Cette dernière parviendra-t-elle à confier à son mari la fausse-couche qu'elle a subit ? Katie, qui marche depuis quelques tems, commence maintenant à parler.
NOTE (dont traduction "automatique" et donc approximative) de Julie Henderson, sur cet épisode : Dans cet épisode où chacun doit envisager le décès d'Anthony, chacun va devoir relever le défi de dire, ou non, à l'enfant qu'il va mourir et qui doit le lui dire : le médecin ? les parents ? un ami ? J ai été reconnaissante d'avoir à écrire cet épisode car il m'a donné l'occasion d' explorer les questions complexes se posant à des familles d'enfants porteurs de maladies représentant un danger pour la vie. J'ai appris que quelles que soient les difficultés de ces questions, si vous parlez à un enfant avec votre coeur, il ne peut y avoir de fausses réponses.Je voudrais remercier spécialement Ann Armstrong-Dailey, Directeur des Hôpitaux Internationaux pour enfants de sa collaboration et du partage de ses recherches. Ces établissements fournissent des ressources et de l'aide aux parents et aux professionnels de soins de santé s'occupant des enfants sérieusement malades. (+coordonnées et adresse) - Julie Henderson - (http://drquinnmd.com/library/episodes6.html)
Les "petites" phrases que j'aie retenues :
Nuage Dansant à Dorothy = il y a quelque chose que vous pouvez faire et c'est ce que vous faites le mieux : écrire la vérité. Faire comprendre à votre peuple que nous ne sommes pas son ennemi .... (il vous écoutera) parce qu'autrefois vous pensiez comme eux (...) votre livre a contribué à faire évoluer les mentalités. Je pense que vous pouvez faire la même chose avec la Gazette. Leur coeur entendra ce que votre coeur a entendu.
Sully à Mike = il n'y a rien de pire que de perdre un enfant, c'est une terrible douleur.
Grace à RobertE = je sais ce qu'ils (Mike & Andrew) ont dit, mais ce ne sont que des médecins. Moi, je suis sa mère et comme toutes les mères... si Anthony était en train de mourir, je le saurais, je le sentirais au fond de mon coeur. Il faut y croire.
Mike à Brian = je ne peux pas (dire la vérité à Anthony) Brian ! Ce n'est pas à moi de prendre cette décision, c'est à ses parents et ils ne veulent pas que je le fasse. (...) Je suis aussi leur amie, je dois respecteur leur volonté.
Sully à Mike = Brian a raison, Anthony devrait savoir la vérité. (...) Ils (Grace & RobertE) traverseront cette épreuve comme nous avons traversé les nôtres : ensemble.
Grace à Mike = je sais Dr Mike, il est mourant ...mais je veux que les derniers jours de mon fils soient pleins d'espoirs et de bonheurs. Vous avez vu son sourire illuminer son visage ? Je dirai et ferai tout ce qu'il faudra pour que ce sourire ne disparaisse jamais de son visage et je le protégerai jusqu'à son dernier soupir.
Sully à RobertE = je sais, c'est dur et c'est injuste de voir un enfant partir avant ses parents (...) mais c'est une bonne chose de lui dire votre amour, et il faut continuer. Mais parfois ce sont les choses qu'on ne dit pas qui nous éloignent de ceux qu'on aime.
Dorothy à Nuage Dansant = je pense souvent au moment où nous avons échangé un baiser et ça me fait peur, avec tout ce qui s'est passé ces dernier temps...///Nuage Dansant = cet instant est toujours dans mon coeur (...) et il y a (pour Dorothy) beaucoup de confusion et de questions ...et pas encore de réponses...mais nous les trouverons.
Grace à Mike = je ne sais pas comment dire au revoir à mon enfant.
Anthony = j'aimerais savoir ce qui va m'arriver quand je serai mort...
Grace à Anthony = ton âme s'envolera vers le ciel et ira tout droit au Paradis où le bon Dieu t'accueillera (et où nous te rejoindrons)
Mike à Anthony = non ce ne sera pas douloureux, il n'y a pas de souffrance là-bas.
RobertE à Anthony = au Paradis les années passent aussi vite que les secondes. Tu auras à peine le temps de te retourner que nous serons là ta maman et moi.
Brian à Matthew = je ne sais pas quoi lui dire ni quoi faire. C'est le meilleur ami que j'aie jamais eu et il va mourir, je ne le reverrai plus jamais. Je ne sais pas comment lui dire que je ne veux pas qu'il s'en aille.
Matthew à Brian = tu crois qu'il ne le sait pas ? Il sait aussi que tu es malheureux...Tu n'as rien à lui dire, c'est de ta présence dont il a besoin.
Anthony à Brian = je te fais cadeau de ma casquette et il faut que tu me promettes d'en prendre grand soin... et ne laisses aucune fille la porter, sinon elle sentira le parfum !
Brian = Anthony ... tu as peur ? /// Anthony = un peu...
Sully à Mike = tu n'étais pas encore prête (à parler de la fausse-couche) ; hier je voulais être seul, j'avais besoin de réfléchir, je me sentais coupable de ne pas avoir été à tes côtés dans un moment aussi difficile. Vous êtes ce que j'aie de plus cher au monde les enfants et toi.
Grace à RobertE = tout au début, quand nous l'avons recueillir, toutes les nuits je me levais et entrais dans sa chambre, sans bruit, et je le regardais dormir. /// RobertE = je sais... et je me levais moi aussi.
LA REDACTION D'ANTHONY = Mlle Teresa nous a demandé de faire une rédaction sur ce que nous aimons le plus à C.S. Mais je n'en ai pas qu'une, j'en ai des centaines. L'une d'elle est de balayer le porche de Mr Bray qui me donne un cornet de sucre Candy . J'aime aussi aller à l'Eglise rendre visite au Révérend qui peut voir nos pensées sans se servir de ses yeux. J'adore distribuer la Gazette de Mlle Dorothy...en échange elle me donne des journaux des quatre coins du pays et ainsi je peux apprendre ce qui se passe dans d'autres villes. J'aime aussi aller voir notre docteur, la seule femme médecin de tout le Colorado...elle vous soigne sans jamais vous faire souffrir ! Mais ce que j'aime le plus c'est passé du temps avec mon meilleur ami, il m'a toujours encouragé et m'a appris à avoir confiance en moi. Ce que je préfère le plus à C.S. c'est vivre avec mes parents ; ils m'ont accueilli chez eux quand je n'avais plus de famille et m'ont donné un foyer. Ils sont même allés voir un juge et lui ont demandé de faire de moi leur fils. J'ai habité dans différentes villes, mais C.S. est l'endroit le plus merveilleux que j'aie jamais connu parce que c'est là que j'ai trouvé un papa et une maman et quelle que soit ma destination, quelle que soit la longueur du voyage, où que j'aille, je sais que lorsque je fermerai les yeux je les verrai et serai à nouveau auprès d'eux.
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NOUVELLE-ORLEANS = La ville fut fondée par les Français sous la direction de Jean-Baptiste Le Moyne, Sieur de Bienville, en 1718. Le nom de la ville fut choisi en l'honneur du régent, Philippe, duc d'Orléans. Au départ simple comptoir de la Compagnie du Mississippi, elle devint la capitale de Louisiane française en 1722 (la capitale fut transférée de Biloxi à La Nouvelle-Orléans). La ville vit l'arrivée (en 1806) de 10 000 créoles haïtiens après le rachat américain de 1803, dont de riches planteurs de sucre d'Haïti (...) La population de la ville fait plus que doubler avec l’arrivée de ces créoles qui quittaient Haïti après la révolution de Toussaint Louverture en 1802 et qui vont ensuite planter du coton dans les quatre états du sud des Etats-Unis qui représenteront 80% de la culture du coton en 1860 (Louisiane, Alabama, Mississippi et Georgie). Pendant la guerre de 1812 les Britanniques envoyèrent une force pour essayer de conquérir la ville mais ils furent vaincus par les troupes commandées par André Jackson à quelques kilomètres en aval à Chalmette le 8 janvier 1815 (bataille de la Nouvelle-Orléans). (...) Selon Carl A. Brasseaux, près de 50 000 français ont pénétré dans les États-Unis par la Nouvelle-Orléans entre 1820 et 1860, tandis que l'autre port, Bâton-Rouge, assurait le transport des esclaves venus de la Côte Est. Il fallait désormais le ménager: en 1806, la traite avait été interdite. (http://www.google.fr/search?q=nouvelle+orl%C3%A9ans+usa&ie=utf-8&oe=utf-8&aq=t&rls=org.mozillaofficial&client=firefox-a)
SUCRE CANDY = Ce que l'on nomme habituellement le sucre est, dès 1406, une "substance de saveur douce extraite de la canne à sucre". Il est majoritairement formé d'un composé nommé saccharose. Il se trouve que la betterave sucrière et d'autres végétaux permettent également de produire des produits composés majoritairement de saccharose. nitialement, les gens mâchaient la canne à sucre brute pour en extraire sa douceur. (...) - La culture du sucre aurait commencé dans le Nord-Est de l’Inde ou dans le Pacifique Sud respectivement vers 10000 ou 6000 avant J.-C. D’autres témoignages archéologiques associent la culture du sucre avec la civilisation de la vallée de l'Indus. Les Indiens ont découvert comment cristalliser le sucre pendant la dynastie des Gupta vers l’an 350. + sur = http://fr.wikipedia.org/wiki/Sucre[i][u]