Traduction du « Questions et Réponses rapides » posé par le compte Instagram « Making Dr Quinn Medicine Woman» à Joe Lando. Mille mercis pour la transcription.
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Introduction
« Joe a été choisi pour jouer Byron Sully par Lisa Frieberger, la responsable du casting de CBS. On lui a proposé 3 scénarios et il a rapidement choisi Dr Quinn, femme médecin. Ils ne savaient pas que cet acteur en particulier rêvait de ce rôle précis depuis qu'il était petit. Ses cheveux longs et son côté silencieux et ardant étaient parfaits pour l'homme des montagnes rugueux qui entre dans la vie du Dr Michaela Quinn et déclenche l'une des romances les plus discutées sur les écrans de télévision dans les années 90.
Les étoiles se sont vraiment alignées lorsque Joe a endossé ce rôle. La tenue en peau de daim usée, la facilité avec laquelle il a lancé ce tomahawk et le regard loyal de son fidèle compagnon loup, qui a toujours suivi de près ses traces, en disaient long sur ce que nous devions savoir pour croire en ce personnage. Toute son enfance, Joe avait « voulu être ce type qui pouvait survivre dans la nature, quelqu’un qui pouvait vivre de la terre et ne faire qu’un avec la nature ».
L’une des choses intéressantes dans le métier d’acteur est de mélanger ses propres pensées et expériences avec celles de son personnage et le résultat devient cet effet kaléidoscopique fascinant où l’on ne peut pas avoir l’un sans l’autre pour ainsi dire. Joe était excellent dans la création de ce reflet sans fin, et je crois que c’est ce qui lui a permis de créer un personnage si crédible que nous avons tous fini par tant aimer. Sa spiritualité, à la Daniel Boone, nous a tous permis de rêver des possibilités d’aimer et de respecter la terre et de vivre en harmonie avec nos voisins amérindiens.
Aujourd’hui, je suis heureuse de vous apporter 4 questions rapides avec Joe Lando, alias notre homme des montagnes préféré, Sully. Ce fut une telle joie de poser quelques questions à Joe et de revenir sur certains souvenirs de la réalisation de la série, et de discuter de son merveilleux parcours en tant que Sully. Un grand merci à @therealjoelando, pour avoir amené sur nos écrans ce petit garçon qui rêvait d'être un homme des montagnes... il s'est avéré être le vrai Daniel Boone dont nous avions tous besoin et que nous chérissons encore aujourd'hui ! 🪓 »
Q1 : Quand vous incarnez un personnage, vous apportez beaucoup de vous-même à ce rôle. C’est l’une des choses intéressantes du métier d’acteur, de mélanger vos propres pensées et expériences avec celles de votre rôle et le résultat devient cet effet kaléidoscopique fascinant où l’un ne peut pas aller sans l’autre, pour ainsi dire. Créer ce reflet sans fin devient le succès d’un acteur dans la création d’un personnage crédible pour le public. Vous l’avez certainement fait avec Sully. Pouvez-vous nous parler de certaines de ces similitudes que vous partagiez ou non avec votre personnage Sully ? Et y a-t-il eu un moment où vous avez eu l’impression de maîtriser Sully en tant que personnage, où la transformation était complète dans votre esprit ?
JL : Le personnage de Byron Sully, créé par Beth Sullivan, vivait dans ma tête et dans mon cœur bien avant que je lise la première page de son scénario. Toute mon enfance, j’ai voulu être ce type capable de survivre dans la nature sauvage. Quelqu’un qui savait comment vivre de la terre et ne faire qu’un avec la nature. Quand je suis arrivé en Californie, j’ai été attiré par les montagnes de Malibu. J’ai parcouru la région du Paramount Ranch pendant des années avant que cela devienne ce que j’aimais appeler mon bureau. Je crois que je l’ai déjà mentionné, mais Sully et le petit garçon qui rêvait d’être un homme des montagnes ne font plus qu’un juste après la bagarre dans le bar de Hanks. Lorsqu’il aide le Dr Mike à monter dans le chariot et marche vers elle alors qu’elle s’éloigne, c’est à ce moment-là que j’ai su. J’étais né pour être ce type.
Q2 : Vous avez eu l'occasion de faire beaucoup de scènes d'action et de cascades en jouant le rôle de Sully. Cela n'enlève rien à vos incroyables doublures comme Terry Jackson, mais vous avez eu de la chance et vous avez pu faire pas mal de cascades vous-même au fil des ans. Quelles sont celles qui vous sont restées en mémoire ?
JL : En ce qui concerne les cascades... J'ai eu l'occasion de faire des trucs fous en travaillant sur la série. Lancer des tomahawks, me balancer sur un trapèze à l'envers et voler dans le filet. Le simple fait de sauter sur le cheval et de le monter à cru était un vrai plaisir. Les cascadeurs m'ont toujours traité comme l'un d'eux et j'ai adoré ça. Ils m'ont aussi combattu comme l'un d'eux. Quel honneur. Les deux cascades qui me restent le plus en mémoire sont celle où je suis monté sur le toit d'une diligence et où je suis parti au coucher du soleil. Et aussi la fois où Sully a pu courir sur le toit d'un train à grande vitesse et éliminer le méchant.
Q3 : Parfois, le dicton « on ne voit pas la forêt à cause des arbres » peut être tellement vrai. Le travail en extérieur a certainement été source de toutes sortes de défis, mais je pense que la plupart des acteurs et de l’équipe se souviennent maintenant avec beaucoup d’affection de ce moment incroyable dans la vie de chacun. En y repensant maintenant, quelles sont les choses que vous chérissez vraiment et qui vous manquent peut-être le plus dans le travail sur DQMW ?
JL : Ce qui me manque le plus ? Les beaux paysages me manquent. Les odeurs. La poussière. La camaraderie du plateau me manque. Le travail acharné et la fierté de ce que nous faisions tous ensemble me manquent. Les êtres humains et les animaux merveilleux que j’ai appris à tant aimer me manquent.
Q4 : Sully avait cet esprit spirituel de Daniel Boone - une légende de son vivant. Il est assez facile de comprendre pourquoi tant de fans ont rêvé d'une suite de son histoire. Avez-vous déjà pensé à des intrigues intéressantes qu'il aurait pu avoir après la fin de la saison 6 ou y a-t-il quelque chose en particulier que vous auriez souhaité ajouter à l'histoire de sa vie ?
JL : Je n'ai pas grand-chose à ajouter à l'histoire de Sully. J'ai toujours pensé que les scénaristes ont fait un travail formidable avec mon personnage et la série. La seule chose que j'aurais ajoutée. Du temps.
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Introduction
« Joe a été choisi pour jouer Byron Sully par Lisa Frieberger, la responsable du casting de CBS. On lui a proposé 3 scénarios et il a rapidement choisi Dr Quinn, femme médecin. Ils ne savaient pas que cet acteur en particulier rêvait de ce rôle précis depuis qu'il était petit. Ses cheveux longs et son côté silencieux et ardant étaient parfaits pour l'homme des montagnes rugueux qui entre dans la vie du Dr Michaela Quinn et déclenche l'une des romances les plus discutées sur les écrans de télévision dans les années 90.
Les étoiles se sont vraiment alignées lorsque Joe a endossé ce rôle. La tenue en peau de daim usée, la facilité avec laquelle il a lancé ce tomahawk et le regard loyal de son fidèle compagnon loup, qui a toujours suivi de près ses traces, en disaient long sur ce que nous devions savoir pour croire en ce personnage. Toute son enfance, Joe avait « voulu être ce type qui pouvait survivre dans la nature, quelqu’un qui pouvait vivre de la terre et ne faire qu’un avec la nature ».
L’une des choses intéressantes dans le métier d’acteur est de mélanger ses propres pensées et expériences avec celles de son personnage et le résultat devient cet effet kaléidoscopique fascinant où l’on ne peut pas avoir l’un sans l’autre pour ainsi dire. Joe était excellent dans la création de ce reflet sans fin, et je crois que c’est ce qui lui a permis de créer un personnage si crédible que nous avons tous fini par tant aimer. Sa spiritualité, à la Daniel Boone, nous a tous permis de rêver des possibilités d’aimer et de respecter la terre et de vivre en harmonie avec nos voisins amérindiens.
Aujourd’hui, je suis heureuse de vous apporter 4 questions rapides avec Joe Lando, alias notre homme des montagnes préféré, Sully. Ce fut une telle joie de poser quelques questions à Joe et de revenir sur certains souvenirs de la réalisation de la série, et de discuter de son merveilleux parcours en tant que Sully. Un grand merci à @therealjoelando, pour avoir amené sur nos écrans ce petit garçon qui rêvait d'être un homme des montagnes... il s'est avéré être le vrai Daniel Boone dont nous avions tous besoin et que nous chérissons encore aujourd'hui ! 🪓 »
Q1 : Quand vous incarnez un personnage, vous apportez beaucoup de vous-même à ce rôle. C’est l’une des choses intéressantes du métier d’acteur, de mélanger vos propres pensées et expériences avec celles de votre rôle et le résultat devient cet effet kaléidoscopique fascinant où l’un ne peut pas aller sans l’autre, pour ainsi dire. Créer ce reflet sans fin devient le succès d’un acteur dans la création d’un personnage crédible pour le public. Vous l’avez certainement fait avec Sully. Pouvez-vous nous parler de certaines de ces similitudes que vous partagiez ou non avec votre personnage Sully ? Et y a-t-il eu un moment où vous avez eu l’impression de maîtriser Sully en tant que personnage, où la transformation était complète dans votre esprit ?
JL : Le personnage de Byron Sully, créé par Beth Sullivan, vivait dans ma tête et dans mon cœur bien avant que je lise la première page de son scénario. Toute mon enfance, j’ai voulu être ce type capable de survivre dans la nature sauvage. Quelqu’un qui savait comment vivre de la terre et ne faire qu’un avec la nature. Quand je suis arrivé en Californie, j’ai été attiré par les montagnes de Malibu. J’ai parcouru la région du Paramount Ranch pendant des années avant que cela devienne ce que j’aimais appeler mon bureau. Je crois que je l’ai déjà mentionné, mais Sully et le petit garçon qui rêvait d’être un homme des montagnes ne font plus qu’un juste après la bagarre dans le bar de Hanks. Lorsqu’il aide le Dr Mike à monter dans le chariot et marche vers elle alors qu’elle s’éloigne, c’est à ce moment-là que j’ai su. J’étais né pour être ce type.
Q2 : Vous avez eu l'occasion de faire beaucoup de scènes d'action et de cascades en jouant le rôle de Sully. Cela n'enlève rien à vos incroyables doublures comme Terry Jackson, mais vous avez eu de la chance et vous avez pu faire pas mal de cascades vous-même au fil des ans. Quelles sont celles qui vous sont restées en mémoire ?
JL : En ce qui concerne les cascades... J'ai eu l'occasion de faire des trucs fous en travaillant sur la série. Lancer des tomahawks, me balancer sur un trapèze à l'envers et voler dans le filet. Le simple fait de sauter sur le cheval et de le monter à cru était un vrai plaisir. Les cascadeurs m'ont toujours traité comme l'un d'eux et j'ai adoré ça. Ils m'ont aussi combattu comme l'un d'eux. Quel honneur. Les deux cascades qui me restent le plus en mémoire sont celle où je suis monté sur le toit d'une diligence et où je suis parti au coucher du soleil. Et aussi la fois où Sully a pu courir sur le toit d'un train à grande vitesse et éliminer le méchant.
Q3 : Parfois, le dicton « on ne voit pas la forêt à cause des arbres » peut être tellement vrai. Le travail en extérieur a certainement été source de toutes sortes de défis, mais je pense que la plupart des acteurs et de l’équipe se souviennent maintenant avec beaucoup d’affection de ce moment incroyable dans la vie de chacun. En y repensant maintenant, quelles sont les choses que vous chérissez vraiment et qui vous manquent peut-être le plus dans le travail sur DQMW ?
JL : Ce qui me manque le plus ? Les beaux paysages me manquent. Les odeurs. La poussière. La camaraderie du plateau me manque. Le travail acharné et la fierté de ce que nous faisions tous ensemble me manquent. Les êtres humains et les animaux merveilleux que j’ai appris à tant aimer me manquent.
Q4 : Sully avait cet esprit spirituel de Daniel Boone - une légende de son vivant. Il est assez facile de comprendre pourquoi tant de fans ont rêvé d'une suite de son histoire. Avez-vous déjà pensé à des intrigues intéressantes qu'il aurait pu avoir après la fin de la saison 6 ou y a-t-il quelque chose en particulier que vous auriez souhaité ajouter à l'histoire de sa vie ?
JL : Je n'ai pas grand-chose à ajouter à l'histoire de Sully. J'ai toujours pensé que les scénaristes ont fait un travail formidable avec mon personnage et la série. La seule chose que j'aurais ajoutée. Du temps.
